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Le 28 avril : ordination presbytérale de fr. Patrick



Le père Abbé Mark-Ephrem Nolan et la Communauté de Maylis
sont très heureux de vous annoncer
l’ordination presbytérale de :

Accolade de frère patrick et monseigneur souchu

Frère Patrick Leblanc

le dimanche 28 avril
par Monseigneur Nicolas Souchu, évêque d’Aire et Dax
Merci pour votre prière


Comment cela se fera-t-il ?

L’ordination aura lieu le dimanche 28 avril à 15h30 à l’église abbatiale du sanctuaire de Maylis.
Voir le magnifique faire-part : Faire-part d’ordination

Les prêtres sont les bienvenus !

Merci de venir avec votre aube et une étole blanche.

Et après la cérémonie ?

Un rafraîchissement suivra la cérémonie sur la place (nous avons prévu du beau temps !)

Faire un cadeau d’ordination ?

Si vous voulez participer à un cadeau d’ordination commun, nous aimerions renouveler les ornements liturgiques de l’abbaye (certains ont vieilli…).
Ci-contre :
l’ensemble rouge réalisé suite aux ordinations des frères Grégoire et Oliveto (conçu et réalisé, avec talent, par Aline Lejean et Florence Blall)

Si vous préférez, vous pouvez aussi profiter de l’occasion pour faire un don avec reçu fiscal, en précisant bien que c’est pour l’abbaye de Maylis (case à cocher), sur le site de la Fondation des Monastères.

Y a-t-il de la place à l’hôtellerie ?

Nous réservons l’hôtellerie en priorité pour les religieux et proches du fr Patrick qui habitent loin et ne pourront pas faire l’aller-retour dans la journée.

Au fait… Qu’est-ce qu’une ordination presbytérale ?

Ça vaut le coup de découvrir !!

4e semaine de Carême : Venir à la Lumière

4e dimanche de carême B :
Jean 3, 14-21

Celui qui fait la vérité vient à la lumière

Ce dimanche, il nous est donné de contempler la lumière de la miséricorde de Dieu. Pourtant, le signe qui en est donné parait bien sombre : le Fils de l’Homme élevé sur une croix, le Fils unique de Dieu mourant pour la vérité. C’est cependant bien vers lui que nous sommes invités à tourner nos regards pour notre guérison, comme les Hébreux vers le serpent, dans le désert. Car sur la Croix, il va jusqu’au bout de l’amour. Il ne révèle pas seulement une vérité, un message parmi d’autres à comprendre. Il agit selon LA vérité. Il ouvre la route véritable : lui-même.
Jésus en Croix nous illumine, il nous manifeste la vérité et nous permet d’en prendre le chemin. C’est la vérité de l’état de l’homme pécheur. C’est la vérité de l’obéissance au Père, du don d’amour total. Jésus prend sur lui notre misère et nous propose de passer avec lui à travers la mort. Il accomplit ce qui constitue le plus profondément le mystère de l’existence humaine devant Dieu. Le suivrons-nous sur ce chemin de vérité ? Imiterons-nous celui qui est la Vérité ?
C’est notre vocation de baptisés. L’illumination de notre baptême nous a sauvé des ténèbres du péché, c’est-à-dire du non-sens, de la séparation de Dieu et des autres, du désordre de notre intériorité. En regardant Jésus sur la croix et Jésus ressuscité, nous pouvons redécouvrir la vérité de l’amour de Dieu pour nous, et retrouver la lumière sur le chemin de l’amour. Qu’il en soit ainsi pour nous un peu plus chacun des jours de ce Carême.

Prière universelle :

PU 4e dimanche de Carême B

Une méditation en trois questions…
… pour les grands et les petits !

Accueillir l’Évangile :

Quel passage de l’Ancien Testament Jésus rappelle-t-il ? Pourquoi est-ce éclairant ?

Comprendre sa foi :

Chercher LA Vérité, est-ce seulement réfléchir aux vérités de la foi ?

Vivre avec Jésus :

Où en suis-je dans ma foi au Christ, dans ma réponse à la vocation chrétienne ?

3e semaine de Carême : Détruisez ce sanctuaire…

3e dimanche de carême B :
Jean 2, 13-25

« Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. »… Mais lui parlait du sanctuaire de son corps

Mystérieuse affirmation de Jésus. C’est un défi violent qu’il lance aux juifs. Après avoir bousculé certaines de leurs certitudes par son enseignement et par ses gestes, après avoir renversé un aspect superficiel et mercantile de leur religion à travers les vendeurs du Temple et les changeurs, il va plus loin dans la provocation. Et c’est une provocation démesurée, choquante, incompréhensible. Les Apôtres eux-mêmes ne la comprendront qu’après la résurrection.
Ne faut-il pas recevoir pour nous aussi l’indignation de Jésus ? Dans l’Église, Temple de Dieu, Corps du Christ, ne faisons-nous pas passer parfois l’essentiel du message évangélique derrière nos petites constructions humaines, nos profits personnels ? La vérité de la charité ne disparaît-elle pas parfois derrière des pseudo-dévotions, et n’est-elle plus encore mise à mal par nos disputes entre frères pour s’assurer une place de pouvoir, « trafics » relationnels pour quelque gain égoïste ? Le Carême est un temps pour faire le ménage dans nos comportements, jusque dans ceux qui paraissent les plus saints. Ainsi le Temple qu’est notre corps et le Temple qu’est l’Église en seront purifiés.
De plus, comme au temps de Jésus, on demande encore aujourd’hui des signes à l’Église, au Corps du Christ, pour justifier son message. On demande une cohérence avec l’essentiel. Et cela requiert beaucoup de courage. Oserions-nous lancer le même défi que Jésus ? Oserions-nous mettre le monde au défi de détruire l’Église pour que soit manifestée la victoire de Dieu sur le mal, la victoire de la Vérité et de la Vie sur le mensonge et la mort ? Ce mystère de mort et de résurrection est pourtant perpétué tout au long des siècles. Il reste signe encore aujourd’hui partout où les chrétiens sont persécutés. C’est notre vocation chrétienne.

Prière universelle :

PU 3e dimanche de Carême B

Une méditation en trois questions…
… pour les grands et les petits !

Accueillir l’Évangile :

Les disciples comprennent la scène en se rappelant quelque chose (deux fois) : qu’est-ce qui les aide à comprendre ?

Comprendre sa foi :

En parlant du corps de Jésus, du « Corps du Christ », on peut parler de différentes choses qui se réfèrent toutes à Jésus : lesquelles ?

Vivre avec Jésus :

Est-ce que je respecte la Présence de Dieu dans le sanctuaire de mon corps, lui qui est uni au Corps du Christ par le baptême et l’Eucharistie ?

3e dimanche : venez à ma suite !

3e dimanche ordinaire :
Marc 1, 14-20

Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile.

La vie chrétienne, toute vie chrétienne, commence par un appel, une « vocation« . Suivre le Christ, c’est se convertir et croire en l’Évangile. Recevoir et choisir l’Évangile amène des changements, peut-être jusqu’à bouleverser le cours d’une vie. Une autre réalité advient par rapport aux habitudes, ou plutôt un autre regard sur la réalité, plus profond, plus plénier : la proximité du Royaume de Dieu change considérablement le paysage. C’est le vrai relief de notre humanité, la vraie valeur de tout ce qui la compose qui se révèle alors.
Dieu passe sur nos chemins, et nous invite à divulguer cette bonne nouvelle de la proximité du Royaume, à prendre conscience de la chance que nous avons pour en parler avec conviction autour de nous. Il y a urgence à répondre à cette invitation. Car, avec le Christ, le temps d’établir le Royaume est venu. La grâce nous est donnée. Le Bonheur de Dieu est désormais à portée de nos cœurs ouverts. Il est à partager avec ceux qui nous entourent.
La vocation particulière de chacun prend racine dans cette vocation chrétienne. À la suite des Apôtres, nous sommes tous invités à prendre part à la grande pêche. Au cœur de notre quotidien, le Christ vient à notre rencontre pour donner une dimension inouïe à nos projets humains : celle du Royaume de Dieu. Il a besoin de relais pour annoncer la Bonne Nouvelle de ce Royaume venu à nous. Laisserons-nous les différents types de filets qui nous retiennent pour faire nôtre cette sainte préoccupation du Christ ? Parfois ce sont juste nos habitudes, notre confort, qui nous font oublier combien la foi peut renouveler notre regard. Il est temps de se laisser renouveler et de commencer à aimer !

Prière universelle :

PU 3e dimanche ordinaire B

Une méditation en trois questions…
… pour les grands et les petits !

Accueillir l’Évangile :

Les Apôtres ont vu le Christ parmi eux : étaient-ils privilégiés par rapport à nous ?

Comprendre sa foi :

Les Apôtres, et donc les évêques et les prêtres, sont-ils plus appelés que les autres chrétiens ?

Vivre avec Jésus :

Seigneur, que veux-tu que je fasse aujourd’hui pour servir ton Évangile ?

Pour aller plus loin : la vocation pour tous !

2e dimanche : Que cherchez-vous ?

2e dimanche ordinaire :
Jean 1, 35-42

Se retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ? »

Étonnante, cette scène qui se passe quelque part, sur un chemin, près du Jourdain. Jésus reçoit de Jean Baptiste ses premiers disciples, et nous assistons au premier contact personnel : un croisement des regards, et une question un peu déroutante.
Jésus renvoie les deux hommes à leur cœur. Il les renvoie à leur choix de le suivre. Il les invite à rendre compte de ce choix.
Jésus les laisse libre, aussi. Il ne met pas la main sur eux. Il ne les enrôle pas pour son projet, mais les invite à s’engager.
Ainsi fait-il toujours, pour tous ses appels, jusqu’à aujourd’hui. Souvent nous avons commencé à suivre Jésus sur la parole d’un autre. Et puis un jour, Jésus se retourne et nous interpelle personnellement, il nous invite à choisir d’apprendre à le suivre.
Heureux ceux qui vont à sa suite, car ils voient où demeure le Christ.

Prière universelle :

PU 2e dimanche ordinaire B

Une méditation en trois questions…
… pour les grands et les petits !

Accueillir l’Évangile :

Pour quelles raisons les deux disciples suivent-ils Jésus ?

Comprendre sa foi :

Comment Jésus nous interpelle-t-il aujourd’hui ?

Vivre avec Jésus :

Ai-je déjà entendu la voix de Jésus sur mon chemin ?

26e dimanche : Histoire de frères…

26e dimanche ordinaire A :
Matthieu 21, 28-32

Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne.

De nouveau ce dimanche, comme dimanche dernier, il s’agit d’aller travailler dans la vigne d’un propriétaire terrien. Ce ne sont plus des ouvriers quelconques qui sont embauchés par un maître. Les protagonistes sont deux fils d’un même père. On trouve souvent des histoires avec deux fils dans la Bible ou dans les paraboles de Jésus. Leurs différences nous permettent parfois de nous identifier à l’un ou à l’autre, ou du moins de nous situer par rapport à leurs attitudes. Cela demande de l’honnêteté avec soi-même, car ces fils d’un même père ne sont jamais parfaits. Là est tout leur intérêt !
Nous voici donc en présence de deux frères qui réagissent de manière opposée à l’appel du père. Situation bien connue. Nous savons combien de distance il y a parfois entre dire et faire, entre les intentions et les actions, entre nos générosités passagères et le vrai don de nous-mêmes. Nous connaissons aussi nos changements d’avis, parfois dans le bon sens, et d’autres fois dans le mauvais. L’obéissance en nous est blessée par le péché. Nos « oui » ne sont pas toujours bien fermes. Mais nos « non » n’ont pas forcément le dernier mot. Nous sommes un peu chacun de ces deux frères.
C’est une grande bénédiction d’entendre un tel appel du Seigneur, l’appel à travailler dans sa vigne. Nous sommes enfants de Dieu, appelés à partager son intimité. Nous avons le privilège d’être invités à travailler à la vigne du Seigneur, à l’œuvre de Dieu. Et il ne nous le demande rien que pour aujourd’hui, donnant la grâce qu’il nous faut pour chaque pas. Nous mettons du temps à réagir. Nous avons besoin de temps pour croire. Il nous faut le temps du repentir. Il est important ce repentir. Ne tardons pas à obéir, comme le Christ, avec le Christ, LE Fils. Car là est notre bonheur.

Prière universelle :

PU 26e dimanche ordinaire A

Une méditation en trois questions…
… pour les grands et les petits !

Accueillir l’Évangile :

Quel reproche est adressé aux pharisiens ?

Comprendre sa foi :

Qu’est-ce qui distingue le Christ, donné en exemple dans la seconde lecture ?

Vivre avec Jésus :

Quel « oui » ai-je du mal à assumer ? De quel « non » devrais-je me repentir ?

11 octobre : ordination diaconale du fr Patrick



Vers une ordination sacerdotale

L’appel du frère Patrick

Notre frère Patrick a été appelé par notre père abbé général Dom Diego Rosa et notre Abbé administrateur père Mark-Ephrem Nolan à recevoir l’ordination sacerdotale. La communauté de Maylis en est très heureuse. Elle rend grâce à Dieu pour ce témoignage de sa bienveillance et de sa miséricorde. Nous vous invitons à rendre grâce avec nous. Et nous confions à votre prière notre frère qui s’apprête à recevoir le don de l’Esprit pour le service de l’Église.
Frère Patrick fait partie de la communauté de Maylis depuis 1989. Il a accompli parmi nous ses études de philosophie et de théologie. Aujourd’hui frère Patrick prend grand soin de ses frères principalement comme délégué de l’abbé administrateur (supérieur), et comme infirmier.

Une étape accomplie

Frère Patrick a été institué lecteur et acolyte par Monseigneur Souchu le 28 juin dernier. Il était entouré non seulement de ses frères moines, mais aussi de frères prêtres de notre diocèse alors en retraite annuelle à l’abbaye.
Durant l’homélie donnée à cette occasion, Monseigneur Souchu a fait le rapprochement entre l’appel du frère Patrick et celui d’Abraham qui était relaté ce jour en première lecture (Gn 15, 1-18). Abraham avait alors 75 ans, tandis que notre frère approche des 70 : le temps de Dieu n’est pas le nôtre.
Prions pour que notre frère marche à la suite du grand patriarche : « Abram eut foi dans le Seigneur et le Seigneur estima qu’il était juste« .

Les étapes à accomplir

Frère Patrick sera ordonné diacre au sanctuaire de Maylis par Monseigneur Nicolas Souchu, évêque d’Aire et Dax, le 11 octobre à 10h30.

Pour les prêtres et les diacres : ornements blancs

Pour tous : un rafraîchissement sera proposé après la cérémonie !

La date de l’ordination presbytérale n’est pas fixée à ce jour. Elle aura lieu probablement en début de temps pascal prochain.

Quelques photos de l’institution comme acolyte et lecteur

20-35 ans : Une retraite pour Faire le Point en juillet

Du 22 au 28 juillet 2023 :
Une retraite spirituelle pour jeunes pros et étudiants

Prière, fraternité, enseignements, services, discernement : tout pour une semaine équilibrée !

Suivez le guide en cliquant ici :

Icone Faire le point
Tous les renseignements sont sur cette page !

Vidéos

Teasers 2018, malheureusement nous n’avons plus de temps pour la production vidéo… :





Voici les vidéos de présentation des années précédentes :

2016 :

2015 :

Abbaye St Eustase : Retraite vocation de la femme (18-35 ans)



Femme, qui cherches-tu ? (Jn 20, 15)

Retraite chez nos sœurs bénédictines

La communauté des sœurs bénédictines de l’Abbaye Notre-Dame Saint Eustase, à Eyres-Moncube (40) propose une halte spirituelle pour jeunes femmes du 17 au 21 mai 2023 (Ascension).
Avec la participation du père David Perrin, o.p.
Télécharger le flyer

La vocation de la femme ?

Les moniales ont une parole à offrir sur la vocation de la femme.
Elles ont aussi et surtout un témoignage à donner, elles qui sont femmes comme toute femme, et épouses et mères d’une façon particulière mais bien réelle.
Venez voir, entendre, expérimenter : cela pourra vous aider à trouver et prendre votre place en tant que femme, et devenir féconde pour le monde.

Pour qui ?

Pour des étudiantes et des jeunes pros, 18 – 35 ans

Quand ?

Ascension 2023 : du 17 mai (17h30) au 21 mai (15h00)

Comment ?

  • Découvrir une communauté de sœurs bénédictines
  • Recevoir un enseignement sur la féminité
  • Célébrer la liturgie
  • Participer au travail manuel avec les sœurs
  • Rencontrer une sœur ou un prêtre

Avec qui ?

Les sœurs, et le père David Perrin, dominicain à Bordeaux.

Renseignements et inscription

Formulaire ci-dessous, ou bien ici : RITRIT

    Pour vérifier que vous n'êtes pas une machine

    captcha

    Que lisez-vous au dessus ?

    5e dimanche : Servir la bonté et la beauté du monde

    5e dimanche ordinaire A :
    Matthieu 5, 13-16

    Vous êtes le sel de la terre. Vous êtes la lumière du monde..

    Ces deux images, le sel et la lumière, semblent à première vue bien différentes, et leur rapprochement peut laisser perplexe. Rien ne les rapproche extérieurement : le sel semble une réalité si humble et cachée, et la lumière si noble et éclatante ! Ils semblent parler de manière presque contradictoire de la vocation du chrétien.
    Pourtant chacun des deux est à la fois caché et bien présent, humble et noble. Ils sont cachés, car tout relatifs aux autres choses : le sel est relatif aux aliments, et la lumière l’est aux objets. On ne goûterait guère le sel s’il ne mettait en valeur les autres aliments. On ne verrait pas la lumière si elle ne se reflétait pas sur les objets. Chacun est pour les autres, au service des autres, et c’est là leur noblesse : ils rendent bon, ils rendent beau. Ou peut-être devrais-je dire plutôt qu’ils révèlent la bonté et la beauté des choses, de la vie. Haute mission que l’on attend d’eux. L’échec de cette mission, la fadeur ou la pâleur, peut leur valoir le mépris, ou tout simplement l’ignorance.
    Il est un autre point commun. Le sel, comme la lumière, pour accomplir leur noble vocation, doivent certes être présents, mais aussi rester humbles et discrets, ne pas s’imposer. La force du sel, comme celle de la lumière, pourraient en effet tout brûler, soit écraser tous les autres goûts, soit aplanir la diversité des couleurs. Or remplir leur service nécessite que les autres soient mis en valeur, finalement jusqu’à ce qu’on les oublie parce qu’ils donnent juste ce qu’il faut.
    Belle parabole de notre place de chrétiens dans le monde. Il s’agit pour nous d’être là, bien présents au cœur du monde, dans notre spécificité, mais pour les autres. Parce que nous sommes peu, il faut avoir d’autant plus de goût, il faut briller d’autant plus pour accomplir notre vocation. Mais il faut aussi d’autant plus se donner dans le service, être pour le monde, aimer toute la Création de Dieu pour la rendre meilleure, et plus belle.

    Prière universelle :

    PU 5e dimanche ordinaire A

    Une méditation en trois questions…
    … pour les grands et les petits !

    Accueillir l’Évangile :

    Une seule des deux images n’aurait-elle pas suffi au message ? Qu’apporte chacune ?

    Comprendre sa foi :

    Comment Jésus a-t-il été le premier sel de la terre et lumière du monde ?

    Vivre avec Jésus :

    Comment est-ce que je désire marcher à la suite du Christ pour être avec lui sel et lumière ?