Le père Abbé et la Communauté de Maylis sont très heureux de vous annoncer l’ordination presbytérale de :
Frère Grégoire (Antoine) Calmettes
et
Frère Oliveto (Etienne) Gérardin
le samedi 26 juin à 15 heures par Monseigneur Nicolas Souchu, évêque d’Aire et Dax Merci pour votre prière
Comment cela se fera-t-il ?
En raison de la pandémie, la célébration aura probablement lieu en extérieur (il fera beau et pas trop chaud !) Retransmission vidéo ici : DIRECT VIDEO
Les prêtres sont les bienvenus !
Merci de venir avec votre aube et une étole blanche.
Et après la cérémonie ?
Un rafraîchissement pourra suivre. Les conditions seront en fonction de ce qu’il sera raisonnable d’envisager à cette date.
Faire un cadeau d’ordination ?
Une cagnotte est mise en place pour un cadeau commun. Cliquez le bouton ci-dessus ! Nous avons deux projets liturgiques, en cours de réflexion pour la réalisation pratique :
en priorité : renouveler les ornements liturgiques de l’abbaye (certains ont vieilli…)
puis : changer la croix du chœur de notre église pour mettre plus en valeur le Christ
Nous espérons pouvoir publier prochainement des photos de ces projets. Merci pour votre participation. Si vous préférez, vous pouvez aussi profiter de l’occasion pour faire un don avec reçu fiscal, en précisant bien que c’est pour l’abbaye de Maylis (case à cocher), sur le site de la Fondation des Monastères.
Y a-t-il de la place à l’hôtellerie ?
Nous aimerions réserver l’hôtellerie en priorité pour les jeunes proches de l’abbaye qui pourraient venir aider ou voudraient partager ce moment avec nous sans avoir beaucoup de moyens pour leur logement.
Au fait… Qu’est-ce qu’une ordination presbytérale ?
Pour les mordus qui veulent goûter l’histoire de la liturgie, il y a cette étude d’un liturgiste (un peu technique, mais pourquoi pas essayer ?) : la prière d’ordination
Service Jeunes pour l’ordination
Merci de vous inscrire avec renseignements pour nous faciliter la tâche :
Le samedi 17 avril, fr Colomban a célébré le cinquantième anniversaire de sa première profession. Chaque jubilé est l’occasion de renouveler les vœux prononcés dans sa jeunesse, mais surtout de rendre grâce pour la fidélité de Dieu qui accomplit des merveilles dans la vie de ses serviteurs. Dans son mot de remerciement, dont vous trouverez un extrait ci-dessous, fr Colomban nous a affirmé: « la vie monastique en vaut la peine ! » Belle et encourageante conclusion de ces années de fidélité.
Voici quelques images commentées de la messe de jubilé, pour que vous puissiez entrer dans la jubilation du fr Colomban et de notre communauté avec lui. Cela peut être pour chacun l’occasion de renouveler les promesses de son baptême.
Remerciement du frère Colomban
Un aperçu sur le mot de remerciement de fr. Colomban, à la fin de la messe. Après avoir remercié ses parents et sa famille, il a ajouté:
Il y a aussi quelques amitiés, fortes et d’autant plus précieuses que la vie monastique peut être marquée par une certaine solitude affective, quelle que soit la réelle chaleur fraternelle d’une communauté. De ces amitiés, j’ai conscience d’avoir plus reçu que je n’ai donné. Et puis il y a le Père Emmanuel et tous nos anciens de la communauté qui m’ont accueilli et guidé dans la vie monastique. Ils m’ont donné le goût de St Benoît, et j’espère un peu de son esprit, à leur exemple j’ai pu persévérer au monastère. Et puis il y a mon Père Abbé et mes frères qui m’entourent aujourd’hui et chaque Heure, chaque jour. Ils me supportent et je les supporte– dans le bon sens bien sur, celui de supporter-, et si je ne sais pas toujours le leur dire et le leur montrer, c’est aujourd’hui peut être l’occasion de leur dire que je les aime et je sais qu’ils m’aiment, pas forcément d’un amour sensible mais toujours vrai. Il y a une oraison de communion qui dit en s’adressant au Seigneur ‘…sans toi notre vie tombe en ruines’, et bien sans ma communauté ma vie tombe en ruines. Alors si certains ou certaines se posaient la question, qu’ils sachent bien que la vie monastique en vaut la peine.
Homélie du père abbé
Lectures : Ph 3, 7-14 ; Jn 1, 35-42.
Que cherchez-vous ? Maître, où demeures-tu ? Venez et vous verrez. Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là.
On a là une magnifique description de la vie monastique, et je remercie du fond du cœur fr Colomban d’avoir choisi ces deux lectures pour illustrer son Jubilé de 50 ans de vie monastique. Tout commence par Jésus qui nous interroge : Que cherchez-vous ? C’est-à-dire : « qu’est-ce qui vous anime ? Qu’est-ce qui vous motive, vous dynamise ? Quel est l’axe de votre vie … ou plutôt, au fin fond de vous, qu’est-ce qui vous attire ? A quoi aspirez-vous ? » La réponse des disciples est surprenante : Maître, où demeures-tu ? C’est dire qu’en le voyant faire les cent pas près du Jourdain, et en entendant le Baptiste déclarer : « voici l’Agneau de Dieu », ils se sont sentis rejoints et interpellés. Une folle espérance est montée en eux. Ils ont perçu en Jésus un rayonnement extraordinaire, leur donnant à penser qu’il pourrait les combler, peut-être donner sens à leur vie. Et ils se sont mis à le suivre. Ainsi le moine a perçu pour lui-même que seul le Christ pourrait donner vraiment sens à sa vie. Ce n’est que là qu’elle prendra du poids, de l’intensité. Ce n’est que là qu’il sera comblé. Tout le reste, sans pour autant être mauvais et étant même bon et beau, tout le reste lui parait léger à côté de l’intimité avec Jésus. N’est-ce pas ce que cherchait à exprimer st Paul dans la 1° lecture ?
Tous ces avantages que j’avais, je les ai considérés, à cause du Christ, comme une perte. Oui je considère tout cela comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la connaissance du Christ-Jésus, mon Seigneur.
De quels avantages s’agit-il ? De la possibilité de se lancer dans un métier, ou d’envisager de fonder une famille, ou des richesses de sensibilité ou de relations amicales etc … Tout cela parait tellement léger à côté d’une vie en intimité avec Jésus !
Ils allèrent donc, et ils virent où il demeurait, et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là. On sent là une rencontre extraordinaire, peut-être de l’ordre de celle entre un disciple et son Maître, où celui-ci transmet à l’autre tout ce qui l’habite, l’anime, et l’autre en est comblé dans son intelligence, et il boit tout. Ce peut être aussi un moment d’amitié particulièrement intense, où les deux amis sont ouverts l’un à l’autre et communient à des valeurs communes. Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse, dans une méditation sur l’amitié, la décrivait ainsi : « Nos âmes étaient sur la même branche de l’Arbre de la Vie, et elles s’étaient reconnues. » Magnifique description pour exprimer que la vie avait fait se rejoindre les 2 amis, et ils avaient reconnu en l’autre des pierres d’attente, des aspirations communes … Ils se sont reconnus ! N’est-il pas émouvant cet éclairage pour envisager notre relation au Christ ? Il est venu se poser sur la même branche que moi, et il me propose son amitié … Il me reconnaît comme sien, et il espère que je vais le reconnaître également ! Ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là, c’était environ la 10° heure. La traduction liturgique formule cela : « ils restèrent auprès de lui », mais dans le grec, original, c’est le même verbe « demeurer » qui est utilisé. Devant cette insistance sur ce verbe « demeurer », je suis allé regarder dans le Vocabulaire de Théologie Biblique son sens dans la Bible. La notice du P Jules de Vaux m’a beaucoup plu. Son introduction explique : Toujours en mouvement, Israël, nomade puis exilé, n’a jamais véritablement expérimenté ce qu’est « demeurer ». Ce peuple, toujours en marche, rêve de se reposer des fatigues du désert. Il voudrait s’installer, et vivre en paix dans la terre que Dieu lui a promise. Au soir de chaque grande étape de son histoire, Israël pense dresser ses tentes pour une « sûre demeure ». … et au matin, il faut à nouveau partir … Ainsi, demeurer est un idéal toujours espéré, mais jamais atteint, qui ne trouvera son accomplissement qu’en Dieu. Israël, peuple nomade, qui rêve de demeurer avec Dieu, est une belle anticipation du moine de st Benoît, toujours en marche, qui rêve de s’arrêter un peu et de demeurer avec Dieu, en Dieu. Il me semble qu’au fil des ans, ce rêve devient de plus en plus perceptible, parfois-même prégnant. On s’est agité pendant des années, cherchant à servir Dieu en servant la communauté, au mieux de ce que nous pouvions donner. Dès qu’un objectif était atteint, on se disait : « là, on va pouvoir se poser un peu » … mais rapidement la nuée lumineuse s’élevait de nouveau, et il fallait repartir vers un autre objectif. La vie du moine rejoint vraiment celle d’Israël dans le désert, en marche vers la Terre promise. C’est le « demeurer en Dieu » qui nous attire
St Paul exprime la même réalité avec l’expression « connaître le Christ », puisque dans la Bible il ne s’agit pas d’une connaissance intellectuelle, mais de connaître dans l’amour. Il s’agit pour moi de connaître le Christ, d’éprouver la puissance de sa résurrection, et de communier aux souffrances de sa Passion, en devenant semblable à lui dans sa mort, avec l’espoir de parvenir à la résurrection d’entre les morts. Tout est dit de la vie monastique, mais aussi de toute vie chrétienne. Connaître le Christ, je l’ai déjà dit, au sens biblique il ne s’agit pas d’une connaissance purement intellectuelle, mais d’un lien vital, intime. Une connaissance dans l’amour. Nous retrouvons bien là tout ce qui a été dit de l’amitié avec Jésus. Éprouver la puissance de sa résurrection. Au cours de notre vie monastique, nous avons tous expérimenté de temps à autre, que le Seigneur était capable de nous combler, de nous faire avancer, de nous transformer. Nous expérimentons un peu la force de sa vie qui nous habite, qui nous ouvre à une vie nouvelle, qui nous sort petit à petit de nos travers, nous établit sur une échelle des valeurs différente. Mais ayant expérimenté cela, la vie nous conduit aussi, souvent, à communier aux souffrances de sa Passion, en devenant semblable à lui dans sa mort. Comment cela ? – en constatant, avec l’âge, que notre corps, nos capacités psychologiques ou intellectuelles, sont en train de mourir à petit feu … – en accueillant de mieux en mieux nos misères, notre péché, mais sans angoisse car nous avons confiance en la puissance de la résurrection. Il y a quelque temps, un ancien parmi nous, portant un regard sur sa vie et évoquant sa jeunesse à un ami, exprimait : «C’était le bon vieux temps, où nous rêvions encore de perfection et de sainteté, alors que désormais, nous constatons que nous ne sommes que de pauvres misérables, sujets de l’infinie Miséricorde, de laquelle st Benoît dit qu’il ne faut jamais désespérer.» « Oui, les illusions de la jeunesse se sont envolées où je croyais que je pourrais faire pas mal de choses bonnes, que je pourrais devenir un bon moine » … Tout cela s’effiloche au fur et à mesure que la lumière divine pénètre en nous, mettant à jour nos misères, notre péché même, qui se glissait dans tout ce que nous cherchions à faire. Comme le dit très bien St Paul, il ne s’agit plus de penser ou espérer être reconnu juste, d’une justice qui s’appuie sur nos œuvres (ce que st Paul appelle une justice qui vient de la Loi de Moïse), mais de celle qui vient de la foi au Christ, la justice qui vient de Dieu et qui est fondée sur la foi. C’est-à-dire que c’est Dieu qui nous rend juste, en nous pardonnant et nous purifiant, en nous reconstruisant sur cette vérité que nous avons besoin d’être sauvé « J’ai besoin d’être sauvé ! Aujourd’hui ! Et le Christ est venu pour cela et il s’est posé sur la même branche que moi et il m’a reconnu comme sien et je l’ai reconnu comme mon Sauveur, mon Rédempteur. » Si notre vie monastique nous amène à ce constat, nous n’aurons pas perdu notre temps, ou plutôt l’offrande du Christ sur la Croix n’aura pas été rendue vaine ! N’est-ce pas cela que nous célébrons en chaque Eucharistie ? Jésus qui donne sa vie, pour nous entraîner à sa suite vers le Père. C’est aussi la grâce de chaque jubilé, qui nous entraîne toujours un peu plus loin, de fois en fois, jusqu’à ce que nous puissions enfin établir notre demeure en Dieu.
Le mercredi 10 mars dans l’après-midi, notre frère Loïc nous a quittés, non pas en 2 CV, rassurez-vous, mais le Seigneur est venu le cueillir paisiblement. Poursuivre la lecture
Si vous désirez un livre qui n’est pas sur la liste, nous pouvons également commander, sous réserve de disponibilité chez le distributeur. Prévoir en ce cas un délai supplémentaire.
Par mel : librairie@maylis.org Par téléphone : 05 58 97 72 81 (mardi au samedi de 10h00 à 11h30)
Pour régler :
De préférence : par carte à la commande
Sinon : par chèque à l’enlèvement (dans le cas du drive).
Deux solutions pour récupérer ou recevoir :
1/ Drive « clique et collecte »
Le magasin fonctionnera en drive (« clique et collecte ») durant le confinement.
Horaires de mise à disposition des commandes préparées et confirmées par mel ou par téléphone : Du mardi au samedi :
Le matin : de 10h00 à 11h30
L’après-midi : de 15h00 à 18h00
Sonnez à la porte du monastère !
2/ Envoi postal
Nous assurons aussi la vente par correspondance, en envoyant par la Poste (participations aux frais postaux en sus).
En dehors des livres, il va sans dire que nous demeurons présents pour la vente par correspondance sur le site de vente La Boutique de Théophile pour nos cires, notre « Tisane de Maylis », les bancs de prières et encore bien d’autres produits.
À bientôt !
Les Frères reconnaissants du soutien que vous leur témoignez ainsi.
Ce 6 juin a été l’occasion d’un débarquement à Maylis : celui de l’Esprit Saint ! Par les mains de Mgr Souchu, évêque de notre diocèse d’Aire et Dax, il est venu consacrer deux nouveaux diacres pour notre communauté : les frères Grégoire et Oliveto.
Communion « Laudato Si »:
Des communautés en chemin de conversion écologique
Dans la dynamique de l’Encyclique Laudato Si du Pape François, le monde monastique se laisse bousculer et accepte de se remettre en question. En effet, l’Écologie prônée par l’Église ne peut se réduire à des mesures de transitions, aussi nécessaires soient-elles, mais nous invite à une conversion profonde de nos vies personnelles et communautaires, afin de trouver notre joie à vivre ensemble et à être uni dans notre maison commune. Une moniale témoigne de ce qui a été vécu. Cet article est paru dans le bulletin « Le lien des moniales » de juin 2019 et publié avec leur aimable autorisation. Bonne lecture !Poursuivre la lecture
Hé oui, on peut apprendre à prier. Et c’est même bien de le faire !
Pour les étudiants et jeunes pros 18-30 ans qui cherchent une petite retraite priante et fraternelle au cœur des fêtes de fin d’année : venez à Maylis du 26 au 30 décembre !
Suis le guide en cliquant ici :
Si tu hésites, tu trouveras ici des témoignages de jeunes passés en retraite à l’abbaye : Sur ce site, il y a aussi d’autres retraites proposées dans des abbayes, à faire connaître !
Le samedi 12 octobre, tous les moines et les moniales de France invitent les jeunes de 16-30 ans à venir voir ce qui se passe dans une abbaye !
De l’extérieur, ça semble mystérieux, voire curieux… Pourquoi ne pas aller voir à l’intérieur ?
Le programme à Maylis :
Les garçons seront les bienvenus à Maylis. Les filles sont invitées à aller dans un des monastères de moniales des Landes : il y a plus de choix ! Par exemple chez nos sœurs Bénédictines de l’abbaye St Eustase. Voir plus bas, après les vidéos…
Possibilité d’arriver le vendredi soir et de coucher à l’abbaye (merci d’avertir avant !)
Arrivée à 8h30 le samedi
Début à 8h45 avec la prière monastique de tierce.
Dans la matinée : présentation-témoignage sur la vie monastique, questions, et temps de lecture de la Bible ensemble.
Messe à 11h45 suivie du repas.
Travail manuel l’après-midi avec les frères et temps de détente.
La prière des Vêpres à 18h30 conclura la journée.
Possibilité de rester le samedi soir et de prolonger la découverte durant la journée du dimanche (merci d’avertir avant !)
1/ Les Bénédictines d’Eyres Moncube (nos préférées…)
Présentation de la communauté sur notre site : cliquer ici !
Programme de la journée pour filles 17-35 ans (tout se fera avec les sœurs !) :
Possibilité d’arriver le vendredi soir et de coucher à l’abbaye (merci d’avertir avant !)
Accueil à 9h00 le samedi
9h20 : prière monastique de tierce.
Dans la matinée : temps de lecture de la Bible ensemble.
Messe à 11h00 suivie du repas.
Après-midi : présentation de la vie monastique, témoignage, questions
Travail-service et temps de détente.
17h30 : prière des Vêpres puis adoration
18h45 : au revoir !
Possibilité de rester le samedi soir et de prolonger la découverte durant la journée du dimanche (merci d’avertir avant !)
Flyer pour faire connaître : Journée 12 oct Inscriptions : Abbaye Notre-Dame St Eustase, 40500 Eyres-Moncube
accueil[@]st-eustase.org
05 58 76 24 25
2/ Les Carmélites de St Sever
Présentation de la communauté : c’est ici !
Programme pour jeunes filles 16-30 ans :
8h45 : messe
Accueil et échanges : vidéos et témoignages
Enseignement sur la prière et temps d’oraison
12h15 : Sexte (Prière du milieu du jour)
Repas tiré du sac
13h45-14h45 : « récréation thérésienne »
Découverte des jardins du Carmel avec les Soeurs et goûter
17h Vêpres
Aucune participation financière n’est demandée, mais par contre l’inscription est nécessaire au 05 58 76 00 15 ou par mail contact.carmel40[@]orange.fr
Honneur à Saint Bernard Tolomei et ses compagnons !
Au mois d’avril dernier, une nouvelle œuvre d’art a été installée dans notre église-sanctuaire de Maylis. Il s’agit d’un retable en l’honneur de St Bernard Tolomei et de ses deux compagnons, Patrizio Patrizi et Ambroggio Piccolomini, fondateurs des bénédictins olivétains. Nous désirons ainsi honorer nos origines monastiques, et faire connaître et aimer la figure simple et attachante de notre fondateur.
vie-monastique.com : un site créé pour inviter les jeunes à découvrir la vie monastique
Qui sommes nous ?
Nous sommes une trentaine de communautés de moines et moniales rassemblés pour présenter la vie monastique sous diverses formes, à l’intention des jeunes.
Tu trouveras sur le site des propositions de retraites ou de stages que nous organisons dans nos monastères tout au long de l’année. Le meilleur moyen de découvrir les moines et les moniales est de venir les rencontrer chez eux. Ils ouvrent leurs portes aux jeunes : profitez-en ! Venez expérimenter !
Les propositions sont diverses :
des retraites organisées avec des enseignement,
des temps de discernement
la possibilité de venir quelques jours juste pour voir
des services aux étudiants pour leurs révisions d’examens
participer à la vie de la communauté et au travail
des sessions avec un thème particulier qui touche la vie monastique, ou tout simplement un grand thème de la foi chrétienne
Bref, il y a le choix ! Ces propositions vont d’un jour à une semaine environ. Tu trouveras pour chaque communauté la manière dont tu pourras venir, et une possibilité d’entrer en contact.
As-tu des questions ?
Beaucoup de questions sur la vie monastique sont abordées. En parcourant les pages du site, on peut donc trouver des réponses concernant cette forme de vie inhabituelle, mais au fond très simple. On peut bien sûr aussi envoyer un message pour poser une question à telle ou telle communauté !
Des jeunes passés dans les retraites que nous proposons témoignent de ce qu’ils y ont vécu. Ainsi chacun peut se faire une idée pour préparer sa halte spirituelle !
Les moines témoignent aussi !
Des jeunes, des vieux, des moyens : en texte ou en vidéos, on peut déjà rencontrer quelques frères ou sœurs de ces communautés !
De loin, ça paraît compliqué… mais ce sont beaucoup de couleurs à découvrir ! Une grande diversité dans laquelle chacun peut trouver une famille qui lui convient.
Sur une carte, tu verras au premier coup d’œil que tu as l’embarras du choix pour visiter une communauté : la France en est couverte !
Chaque communauté a quelques pages de présentation lui qui sont propres : Présentation, Témoignages, Questions/Réponses, Info pratiques et Contact et autres encore… Cela permet de sentir un peu l’ambiance de la famille !
Aimes-tu réfléchir et méditer ?
Certains dossiers à thème te donneront du grain à moudre, avec des textes écrits par les frères et sœurs.
Il est bien sûr possible de prendre contact avec les communautés : le site est fait pour ça !
Et puis aussi on peut nous suivre sur les Réseaux sociaux.